– Dans le numéro 180 de Spec­tra Biolo­gie –

puce Inno­va­tions
BIOLOGIE MOLECULAIRE   Nouvelle gamme d’ana­ly­seurs d’acides aminés

Biochrom 30+ de Biochrom

Biochrom lance sa nouvelle série Biochrom 30+, dédiée à l’ana­lyse d’acides aminés. Le système permet l’iden­ti­fi­ca­tion et la quan­ti­fi­ca­tion des acides aminés libres ou conte­nus dans les protéines. Il utilise la chro­ma­to­gra­phie échan­geuse d’ions avec une post colonne de déri­va­tion à la ninhy­drine, tech­nique large­ment utili­sée dans les hôpi­taux, labo­ra­toires indus­triels, de recherche ou phar­ma­ceu­tiques. Les prin­ci­pales appli­ca­tions incluent : la détec­tion et le suivi des mala­dies liées aux erreurs innées du méta­bo­lisme, l’ana­lyse de la teneur en acides aminés au sein des protéines et peptides et l’ana­lyse nutri­tion­nelle des bois­sons et de l’ali­men­ta­tion humaine et animale.
Le Biochrom 30+ offre des proto­coles rapides (moins de 90° minutes) qui augmentent la produc­ti­vité. Les para­mètres de l’ana­ly­seur sont contrô­lés par ordi­na­teur grâce à un logi­ciel intui­tif. Un système flui­dique avancé et des compo­sants robustes offrent une main­te­nance aisée renfor­cée par un support client et une assis­tance tech­nique dédiée. Le service exclu­sif de recon­di­tion­ne­ment des colonnes offre une durée de vie quasi infi­nie aux colonnes.
BIOLOGIE MOLECULAIRE   Un séquen­ceur de paillasse

GS Junior de Roche

La société Roche 454 Life Sciences propose son nouveau système de séquençage moyen débit, le GS Junior. Cet instru­ment, qui utilise la même tech­no­lo­gie que son prédé­ces­seur le GS FLX, le pyro­sé­quençage, a été dimen­sionné pour s’adap­ter aux acti­vi­tés de recherche et de diagnos­tic des labo­ra­toires indi­vi­duels. Prenant une place équi­va­lente à celle d’une impri­mante profes­sion­nelle, il effec­tue comme le GS FLX le séquençage d’en­vi­ron 400 bases en 10 heures, avec une moyenne de 100 000 lectures par session.
Cet appa­reil est indiqué pour des appli­ca­tions aussi variées que le séquençage direct d’am­pli­cons, le resé­quençage ciblé d’ADN humain, le séquençage de novo des génomes micro­biens, la détec­tion de patho­gènes et la carac­té­ri­sa­tion d’échan­tillons envi­ron­ne­men­taux en méta­gé­no­mique. Trois outils bioin­for­ma­tiques faci­litent ensuite l’ana­lyse des données : l’un faci­lite l’as­sem­blage des contigs pour créer de novo une séquence géno­mique jusqu’à 3 giga­bases, un deuxième permet de déter­mi­ner les varia­tions géno­miques par rapport à une séquence de réfé­rence et le troi­sième détecte des variants d’am­pli­cons par compa­rai­son avec une séquence connue de réfé­rence.
METROLOGIE   Enre­gis­treur à écran tactile
Après sa gamme d’en­re­gis­treurs sans fil, JRI Maxant pour­suit ses inno­va­tions avec une nouvelle géné­ra­tion d’en­re­gis­treurs à écran tactile qui allie tech­no­lo­gie et faci­lité d’uti­li­sa­tion. Le para­mé­trage de l’ap­pa­reil et la consul­ta­tion des données se font direc­te­ment sur l’écran. De plus, une simple clé USB connec­tée au SPY ToucH’ suffit pour récu­pé­rer les données enre­gis­trées : tempé­ra­tures, hygro­mé­trie ou contacts secs. Plus parti­cu­liè­re­ment dédié aux produits ther­mo­sen­sibles (alimen­taires, poches de sang, vaccins, médi­ca­ments, réac­tifs…), le SPY ToucH’ est conforme à la norme EN 12830 et peut enre­gis­trer jusqu’à 40 000 mesures.
En cas d’in­ci­dent, une alarme visuelle et/ou sonore se déclenche. Sur place, les utili­sa­teurs peuvent ainsi inter­ve­nir immé­dia­te­ment pour remé­dier au dysfonc­tion­ne­ment. L’en­re­gis­treur SPY ToucH’ est dispo­nible en version 1 ou 2 voies et peut accueillir une sonde de tempé­ra­ture, d’hy­gro­mé­trie ou avec un contact de porte ou un bouton pous­soir. En plus des sondes analo­giques, JRI Maxant propose une sonde numé­rique inter­chan­geable d’un enre­gis­treur à l’autre sans reca­li­brage.
TOXICOLOGIE   Analyses médico-légales sur puce
Randox Labo­ra­to­ries vient d’étendre la liste de ses analy­seurs sur puce par l’ar­ri­vée de l’Evi­dence Multi­stat, desti­née à conso­li­der les analyses médico-légales. Cette plate­forme entiè­re­ment auto­ma­ti­sée est utili­sée pour tester simul­ta­né­ment plusieurs marqueurs et ainsi augmen­ter la renta­bi­lité. Cette tech­no­lo­gie sur puce offre une corré­la­tion de 99,6 % avec les méthodes déjà confir­mées.
Trois kits de dépis­tage des drogues sont déjà dispo­nibles, pour couvrir un large panel de drogues en un seul test. La prépa­ra­tion est simpli­fiée et se fait à partir de faibles volumes de nombreuses matrices : urines, salive ou sang total, tissu ou sang post mortem. L’ana­lyse est rapide, 10 drogues sont dépis­tées en 20 minutes. L’écran tactile et la connexion de l’ap­pa­reil au réseau du labo­ra­toire sans logi­ciel supplé­men­taire rendent cet auto­mate marqué CE facile à inté­grer et à utili­ser. Ces analyses conviennent ainsi aux tests réali­sés au chevet du patient, ou au sein de labo­ra­toires à petit rende­ment.
EQUIPEMENT DE LABORATOIRE   Centri­fu­ga­tion : chan­ger les rotors sans outils
AWEL Inter­na­tio­nal, société française spécia­li­sée dans les biotech­no­lo­gies, a mis au point, pour sa gamme de centri­fu­geurs, un système de chan­ge­ment de rotors sans outils : AWELock. Ce dispo­si­tif breveté permet à l’uti­li­sa­teur de passer d’une appli­ca­tion à l’autre avec le même centri­fu­geur en chan­geant de rotor en quelques secondes. Ce dispo­si­tif de retrait rapide des acces­soires présente un autre avan­tage : l’ac­cès complet à la cuve pour une décon­ta­mi­na­tion totale.
Les centri­fu­geurs AWEL faci­litent ainsi l’uti­li­sa­tion d’un large choix de rotors : rotors libres, rotors angu­laires (pour micro­tubes, tubes 10mL, 15mL, 50mL…) et rotors pour micro­plaques. La capa­cité maxi­mum est de 64 tubes de prélè­ve­ments de 5 ou 7 mL et 30 micro­tubes de 1,5 mL, offrant une réponse aux divers besoins des utili­sa­teurs en labo­ra­toire. Ces acces­soires sont dispo­nibles en version étanche aux aéro­sols, indis­pen­sable pour la sécu­rité de l’opé­ra­teur et de l’en­vi­ron­ne­ment en cas de bris de tube (Décret du 16 Juillet 2007).
EQUIPEMENT DE LABORATOIRE   Des flacons de culture en résine

Erlenmeyer de BD

Les nouveaux Erlen­meyers BD Falcon™ peuvent être utili­sés pour la culture et le stockage de cellules, en biolo­gie molé­cu­laire ou cellu­laire et en micro­bio­lo­gie. Grâce à leur forme, ils sont adap­tés à toutes les appli­ca­tions de culture en suspen­sion et sous agita­tion de cellules, qu’elles soient euca­ryotes ou proca­ryotes, ainsi que pour le stockage de réac­tifs. Fabriqués à partir d’une résine en poly­car­bo­nate, ils permettent de rempla­cer l’usage du tradi­tion­nel Erlen­meyer en verre pour plus de sécu­rité. Un bouchon exclu­sif « 2 en 1 » (ventilé ou non ventilé) four­nit une flexi­bi­lité accrue pour l’en­semble des appli­ca­tions néces­si­tant d’agi­ter un mélange, de favo­ri­ser les échanges gazeux, de conser­ver une solu­tion ou de limi­ter l’éva­po­ra­tion, tout en préve­nant les risques de fuites.
Certains modèles disposent d’un déflec­teur au fond du flacon qui augmente l’agi­ta­tion et l’aé­ra­tion, tandis que d’autres présentent un fond plat, idéal pour le stockage des solu­tions. Ces Erlen­meyers sont garan­tis dépour­vus de nucléases, stériles (SAL 10–6), non-pyro­gènes et non-cyto­toxiques. Ils sont auto­cla­vables et réuti­li­sables afin de réduire l’im­pact envi­ron­ne­men­tal et sont embal­lés indi­vi­duel­le­ment avec un dispo­si­tif d’ou­ver­ture facile.
EQUIPEMENT DE LABORATOIRE   Eau pure et ultra pure

Milli-Q Direct de Millipore

Milli­pore lance le système Milli-Q Direct, dernier-né de la gamme de systèmes de puri­fi­ca­tion d’eau Milli-Q de la société. Ce nouveau système a été conçu pour offrir à la commu­nauté scien­ti­fique une seule solu­tion écono­mique pour produire de l’eau pure et ultra pure à partir d’eau de ville. Le système Milli-Q Direct permet une produc­tion d’eau opti­male, dépas­sant les exigences des normes de qualité les plus strictes.
Les utili­sa­teurs du système Milli-Q Direct peuvent béné­fi­cier d’une distri­bu­tion d’eau pratique et poly­va­lente : l’eau peut être dispen­sée manuel­le­ment ou auto­ma­tique­ment, à un débit faible ou élevé. De plus, il est possible d’adap­ter le système Milli-Q Direct à une ou plusieurs appli­ca­tion(s) spéci­fique(s) de l’uti­li­sa­teur, en ajou­tant un polis­seur BioPak®, VOC-Pak™, EDS-Pak®, LC-Pak™ ou Milli­pak® faisant partie d’une gamme de filtres finaux appe­lés « Appli­ca­tion Paks ». Installé sur une paillasse ou fixé au mur, le faible encom­bre­ment du système aidera égale­ment à renta­bi­li­ser l’es­pace. Des procé­dures simpli­fiées réduisent la main­te­nance du système au mini­mum et une puce RFID faci­lite et accé­lère la traça­bi­lité des consom­mables.
EQUIPEMENT DE LABORATOIRE   Poste de micro­bio­lo­gie classe I, II
Les postes de sécu­rité de type II Solis de la société Noroit permettent la protec­tion de la mani­pu­la­tion, du mani­pu­la­teur et de l’en­vi­ron­ne­ment, lors du manie­ment d’agents patho­gènes de classes I et II. Ils sont en cela conformes à la norme euro­péenne EN 12469. La vitesse de flux et le débit de rejet sont surveillés en perma­nence par l’élec­tro­nique de contrôle. En cas de dysfonc­tion­ne­ment ou de posi­tion­ne­ment incor­rect de la vitre fron­tale, l’opé­ra­teur est immé­dia­te­ment averti au moyen d’alarmes sonore et visuelle.
L’éclai­rage puis­sant, le repose bras et un niveau sonore modéré contri­buent au confort de l’opé­ra­teur. Les postes de sécu­rité micro­bio­lo­gique Solis sont de plus équi­pés du dispo­si­tif « EasyP­rop », un procédé unique, breveté, de nettoyage de l’in­té­rieur de la vitre de façade. Dispo­nibles en deux largeurs, 1200 et 900 mm, ils sont équi­pés en série d’une prise élec­trique et de deux pré-perçages pour le passage des fluides. Le piéte­ment, les tubes UV, la minu­te­rie, les robi­nets de gaz et de vide sont en revanche en option.
EQUIPEMENT DE LABORATOIRE   Hotte de PCR

Hotte Lys de Noroit

Les hottes Lys présen­tées par Noroit sont spécia­le­ment conçues pour les appli­ca­tions de PCR. Dispo­nibles en version flux lami­naire ou non, elles offrent une solu­tion opti­male de décon­ta­mi­na­tion par UV qui permet de casser les brins d’ADN/ARN rési­duels suscep­tibles de conta­mi­ner les futures mani­pu­la­tions.
En version flux lami­naire le plan de travail est balayé par un flux d’air filtré (filtra­tion HEPA, ISO 5) qu’une grille de répar­ti­tion vient homo­gé­néi­ser. Le flux se coupe auto­ma­tique­ment pendant le cycle de décon­ta­mi­na­tion UV, lequel ne peut être lancé que lorsque la vitre de façade est tota­le­ment fermée. La présence de deux tubes UV et le réglage par l’uti­li­sa­teur du temps d’ex­po­si­tion permettent d’as­su­rer l’ab­sence de zone morte dans le proces­sus de décon­ta­mi­na­tion. De plus, la hotte comporte un comp­teur d’uti­li­sa­tion des tubes UVs, dont le vieillis­se­ment est indé­tec­table à l’œil nu. Les hottes Lys existent en version stan­dard (0,95 mètre) ou compacte (0,75 m).
EQUIPEMENT DE LABORATOIRE   Poste de micro­bio­lo­gie classe II, III
La hotte PSM de type II SafeFAST Elite d’Oxy­gen a été conçue pour appor­ter une protec­tion opti­male du produit, du mani­pu­la­teur et de l’en­vi­ron­ne­ment, garan­tie par le strict respect de la norme NF EN 12469. Elle est égale­ment label­li­sée Marque NF, selon la NF-095, pour la mani­pu­la­tion de micro-orga­nismes et de patho­gènes de classe II et III, en micro­bio­lo­gie, viro­lo­gie, héma­to­lo­gie, culture cellu­laire et géné­tique.
Dispo­nible en diffé­rentes largeurs (0,9, 1,2, 1,5 et 1,8 mètre), la SafeFAST ELITE possède un système de filtra­tion à un ou deux venti­la­teurs, inté­grant deux filtres HEPA, un pour le souf­flage dans le volume de travail, l’autre pour l’éva­cua­tion vers l’ex­té­rieur. Sa face avant incli­née et sa vitre élec­trique améliorent le confort de l’uti­li­sa­teur. Dispo­sant de nombreux équi­pe­ments stan­dards, elle peut égale­ment s’en­ri­chir d’op­tions et d’ac­ces­soires comme une lampe UV, un joint gonflable d’étan­chéité de vitre (en cas de fumi­ga­tion) ou d’un cais­son de filtra­tion supplé­men­taire.
EQUIPEMENT DE LABORATOIRE   Hotte à flux hori­zon­tal pour les mani­pu­la­tions stériles
Conforme à la norme NF EN 14644–1, la hotte à flux lami­naire hori­zon­tal FlowFAST H d’Oxy­gen assure une excel­lente protec­tion du produit. Grâce à son système de préfil­tra­tion puis de souf­flage dans le volume de travail à travers un filtre HEPA de type H14, elle créé une mini salle blanche, qui permet de proté­ger le produit par rapport au mani­pu­la­teur.
La FlowFAST H permet donc d’ef­fec­tuer toutes mani­pu­la­tions stériles et tests de stéri­li­tés, la prépa­ra­tion des solu­tions et milieux mais égale­ment les fécon­da­tions in vitro ou des expé­riences de micro­élec­tro­nique et d’op­tique. Elle est dispo­nible en 0,9, 1,2, 1,5 et 1,8 mètre de largeur, pour s’adap­ter aux besoins des labo­ra­toires, et présente de grandes parois laté­rales en verre secu­rit, qui assurent une excel­lente visi­bi­lité durant les mani­pu­la­tions. En option, elle propose notam­ment la régu­la­tion auto­ma­tique de la vitesse en fonc­tion du colma­tage des filtres avec affi­chage digi­tal de la vitesse du flux.
EQUIPEMENT DE LABORATOIRE   Puri­fi­ca­teur d’eau de type II

Purelabo Pulse de Véolia

Le PURELAB PULSE est adapté aux labo­ra­toires qui ont besoin d’im­por­tantes quan­ti­tés d’eau, et plus parti­cu­liè­re­ment dans les régions où sa dureté est élevée. Du nettoyage de verre­rie à l’ali­men­ta­tion d’au­to­mates, de la culture cellu­laire à la prépa­ra­tion de milieu de culture, le PURELAB PULSE permet de nombreuses appli­ca­tions. Il incor­pore la tech­no­lo­gie breve­tée Veolia PULSE, utili­sant la dernière mise à jour de l’élec­tro­déio­ni­sa­tion (EDI), pour produire une eau pure de niveau constant, à de faibles coûts de fonc­tion­ne­ment.
Sa capa­cité de produc­tion est de 20 litres d’eau de type II par heure. Son système unique de recir­cu­la­tion inté­grale des fluides à travers les médias de puri­fi­ca­tion assure une qualité opti­male de l’eau au point de distri­bu­tion. La longue durée de vie de ses compo­sants, alliée à la rapi­dité et à la faci­lité de rempla­ce­ment des consom­mables, réduit consi­dé­ra­ble­ment les temps de main­te­nance. Grâce à un robi­net de prélè­ve­ment à hauteur ajus­table, le PURELAB PULSE peut être installé dans n’im­porte quelle confi­gu­ra­tion, sur un mur ou sur une paillasse.
INFORMATIQUE DE LABORATOIRE   Logi­ciel de gestion du contrôle de qualité
Conçu pour répondre aux critères de perfor­mance et de traça­bi­lité requis pour l’ac­cré­di­ta­tion, le logi­ciel Unity Real Time de Bio-Rad permet la gestion de l’en­semble des données de CQ internes du labo­ra­toire. Le déclen­che­ment d’alarmes informe en temps réel du non respect des objec­tifs de perfor­mances, des objec­tifs fixés par le labo­ra­toire selon la perti­nence médi­cale, les varia­tions biolo­giques ou l’état de l’art. Un module opti­mise ce choix de règles afin de réduire le désin­té­rêt lié aux fausses alarmes.
La saisie des données est auto­ma­ti­sable par connexion avec le LIS, le concen­tra­teur de données, ou l’ins­tru­ment. Le logi­ciel s’uti­lise en réseau au sein du labo­ra­toire ou entre diffé­rents sites. Un panneau de synthèse permet une revue des CQ de manière homo­gène quelque soit l’au­to­mate, par le tech­ni­cien et le biolo­giste. Diffé­rents graphiques permettent une analyse quoti­dienne ou rétros­pec­tive des CQ. La traça­bi­lité docu­men­taire des CQ est sans limite de temps. Des grilles d’ana­lyses de données permettent en outre d’af­fi­cher pour une période choi­sie, les indi­ca­teurs de suivi de la qualité. Ces données extraites sous forme de tableurs peuvent parti­ci­per aux calculs de vali­da­tions de méthodes et d’in­cer­ti­tudes de mesures néces­saires à l’ac­cré­di­ta­tion.
INFORMATIQUE DE LABORATOIRE   Logi­ciel de gestion de la puri­fi­ca­tion d’eau

Millitrack de Millipore

Milli­pore présente Milli­tra­ck™, un outil logi­ciel à inter­face utili­sa­teur graphique sur Inter­net destiné aux utili­sa­teurs de systèmes de puri­fi­ca­tion d’eau Milli­pore. Le nouveau logi­ciel permet un archi­vage élec­tro­nique à long terme des rele­vés de qualité d’eau, ainsi qu’un accès au système de puri­fi­ca­tion d’eau pour une surveillance à distance en temps réel.
Pour une traça­bi­lité totale, le logi­ciel Milli­track permet de sauve­gar­der les données de contrôle de leur système de puri­fi­ca­tion d’eau sur une longue durée, y compris les mesures de résis­ti­vité/conduc­ti­vité, les taux de C.O.T. et les para­mètres du système. Les rele­vés archi­vés et indexés sont expor­tables vers un fichier de base de données qui dispose d’un outil de gestion de données (LIMS, ECM/SDMS ou ELN). Le logi­ciel Milli­track est conçu pour une utili­sa­tion avec les systèmes de puri­fi­ca­tion d’eau Milli-Q®  Inte­gral, Milli-Q Direct, Milli-Q Refe­rence et Elix®  Advan­tage.
INFORMATIQUE DE LABORATOIRE   Service de vente en ligne
Les labo­ra­toires Randox viennent de lancer une nouvelle boutique en ligne, qui permet aux biolo­gistes de navi­guer, comman­der et payer depuis n’im­porte quel poste inter­net. Toutes les commandes passées sur leur site www.randox.com sont trai­tées immé­dia­te­ment et les marchan­dises expé­diées à la demande, pour un service plus rapide et plus effi­cace qu’a­vec les méthodes tradi­tion­nelles. La confir­ma­tion de la commande est instan­ta­née et un avis d’ex­pé­di­tion informe de la date de livrai­son. Cette boutique se veut convi­viale, et facile à utili­ser grâce à une fonc­tion de recherche par groupe de produit ou par mots clés.
Rédui­sant le risque d’er­reur humaine, ce service permet d’op­ti­mi­ser la chaîne d’ap­pro­vi­sion­ne­ment en auto­ma­ti­sant les proces­sus. Le cata­logue de produits de Randox, qui se compose de plus de 1000 produits fabriqués dans son usine accré­di­tée ISO 13485, est acces­sible à la vente par paie­ment sécu­risé. Basé au Royaume-Uni, ce four­nis­seur inter­na­tio­nal de solu­tions pour le diagnos­tic propose une large gamme de produit qui s’étend des réac­tifs à la tech­no­lo­gie d’ana­lyse sur puce, en passant par une gamme de contrôle de qualité.
SEROLOGIE   SARM sous contrôle
Alere™ propose aux biolo­gistes le produit Clear­view® Exact PBP2a, seul test simple et rapide pour la détec­tion de la résis­tance à la méti­cil­line liée à la produc­tion de la PBP2a (Peni­cil­lin – binding protein 2a) des souches de Staphy­lo­coques à partir d’un isole­ment primaire. En effet la détec­tion de la résis­tance à la méti­cil­line consti­tue un enjeu majeur pour la prise en charge des patients.
Ce test de dépis­tage est basé sur le prin­cipe de l’im­mu­no­chro­ma­to­gra­phie sur membrane et se présente sous un format adapté pour tout type de labo­ra­toire. Simple d’exé­cu­tion il permet d’ob­te­nir un résul­tat en 5 minutes seule­ment. Le produit Clear­view® Exact PBP2a complète les produits de la gamme IDENTIBAC dont le S. aureus Geno­ty­ping et élar­git ainsi les produits de la gamme infec­tieuse qui touchent prin­ci­pa­le­ment le dépis­tage des infec­tions respi­ra­toires avec les kits BinaxNow®   Legio­nella et BinaxNow®  Strep­to­pneu­mo­niae.
SEROLOGIE   Contrôles de la qualité pour tests séro­lo­giques
Bio-Rad four­nit depuis 2008 des contrôles multi­pa­ra­mé­triques en viro­lo­gie et séro­lo­gie, venus complé­ter son offre déjà consé­quente. La gamme de contrôles VIROTROL non dosés permet notam­ment de s’as­su­rer de la fiabi­lité des tests des hépa­tites et rétro­vi­rus, des mala­dies sexuel­le­ment trans­mis­sibles et des mala­dies congé­ni­tales. Aujourd’­hui, ce four­nis­seur clé des contrôles de qualité pour les labo­ra­toires de biolo­gie va encore plus loin en propo­sant des contrôles indé­pen­dants, dosés pour les tests des hépa­tites A, B, C et de l’im­mu­no­dé­fi­cience humaine de type 1.
Les utili­sa­teurs des auto­mates Axsym, Archi­tect, Elec­sys 2010 et Modu­lar E170 ainsi que des Advia Centaur disposent désor­mais d’une moyenne de valeurs de ratios et de limites d’ac­cep­ta­bi­lité. Ces contrôles sont à matrice humaine et leur format liquide élimine la varia­bi­lité poten­tielle due à la recons­ti­tu­tion. Ils peuvent être utili­sés non seule­ment en tant que contrôles internes de la qualité mais aussi en tant que contrôle externe lorsqu’ils sont trai­tés par le programme mondial de compa­rai­son inter-labo­ra­toire Unity.
SEROLOGIE   Dépis­tage sanguin de la tuber­cu­lose
Après 100 ans d’uti­li­sa­tion du test cutané tuber­cu­li­nique, Celles­tis annonce le lance­ment du premier test sanguin de dépis­tage de cette mala­die conta­gieuse, due à la bacté­rie Myco­bac­te­rium tuber­cu­lo­sis, qui s’at­taque habi­tuel­le­ment aux poumons, mais qui peut toucher n’im­porte quelle partie de l’or­ga­nisme.
Le test Quan­tiFERON-TB Gold In-Tube  (QFT) révèle la produc­tion d’in­ter­fé­ron, pour une détec­tion plus effi­cace de la tuber­cu­lose active : une méta-analyse parue dans la revue inter­na­tio­nale CHEST démontre que les tests IGRAS (pour Inter­fe­ron Gamma Release Assays) offrent de meilleurs résul­tats que l’in­tra­der­mo­réac­tion à la tuber­cu­line (IDR). Le Quan­tiFERON présente de meilleures spéci­fi­cité (96 % vs 60 %) et sensi­bi­lité (76 – 80 % vs 73 %), pour un temps de lecture plus court (24 h au lieu de 72 h). Face à la recru­des­cence, notam­ment en Île-de-France, de la tuber­cu­lose, ce nouveau type de dépis­tage pour­rait s’avé­rer utile, et cela d’au­tant plus chez les patients immu­no­dé­pri­més (VIH, trai­tés par anti-TNF alpha). L’uti­li­sa­tion de ce type de test a d’ailleurs été recom­man­dée par le haut Conseil de la Santé Publique pour surveiller les personnes vacci­nées, afin d’évi­ter les faux posi­tifs du diagnos­tic par IDR suite à la vacci­na­tion par le BCG.
SEROLOGIE   Contrôle de qualité AgP24 du HIV-1

Accurun d'InGen

InGen renforce son offre dans le domaine des contrôles de qualité interne et propose un nouveau contrôle Accu­run pour évaluer en continu la répé­ta­bi­lité et la repro­duc­ti­bi­lité des tests séro­lo­giques utili­sés pour la recherche de l’an­ti­gène P24 dans les tests spéci­fiques ainsi que dans les tests combi­nés HIV Ag/Ac.
Ce contrôle destiné aux labo­ra­toires de biolo­gie médi­cale se présente sous 2 condi­tion­ne­ments afin de s’adap­ter au mieux à l’ac­ti­vité de chacun. Marqué CE, il est indé­pen­dant et conforme aux recom­man­da­tions du Cofrac dans le cadre de l’ac­cré­di­ta­tion de la phase analy­tique. Ce contrôle liquide prêt à l’em­ploi vient renfor­cer une large gamme de contrôles qui s’en­ri­chit depuis plus de 25 ans en parte­na­riat avec les labo­ra­toires.
puce Actua­li­tés
VIE DES SOCIETES   Cap sur le diagnos­tic géné­tique
PerkinEl­mer conforte ses dispo­si­tifs de biolo­gie molé­cu­laire pour offrir de nouveaux produits de diagnos­tic in vitro. La société du Massa­chu­setts a signé l’ac­cord défi­ni­tif d’ac­qui­si­tion de la compa­gnie Signa­ture Geno­mic Labo­ra­to­ries LLC, spécia­li­sée dans les tests de diagnos­tic géné­tique, et renforce ainsi son offre d’ana­lyses cyto­gé­né­tiques et sa posi­tion dans le marché de la détec­tion précoce des mala­dies et dans celui du diagnos­tic des cancers.
Créée en 2003, Signa­ture produit des tests détec­tant les anoma­lies chro­mo­so­miques indi­vi­duelles. Sa tech­no­lo­gie de micro­puce (Signa­tu­reC­hip® ;) est utili­sée pour l’iden­ti­fi­ca­tion pré- et post-natale d’al­té­ra­tions du DNA. Une nouvelle ligne de diagnos­tic de la leucé­mie avait récem­ment été ajou­tée à sa gamme. Cette posi­tion renfor­cée s’est concré­ti­sée lors du 10e congrès inter­na­tio­nal sur le diagnos­tic pré-implan­ta­toire, puisque la société a présenté son nouveau dispo­si­tif de dosage biolo­gique par diagnos­tic in vitro pour le test préna­tal rapide de multiples mala­dies géné­tiques, le premier d’une série conçue grâce aux billes multi­plexes exclu­sives BACs-on-Beads. Résul­tat en moins de 24 heures, test simul­tané de plus de 40 échan­tillons et marquage CE carac­té­risent ce système de détec­tion des aneu­ploï­dies des chro­mo­somes 13, 18, 21, X et Y ainsi que des modi­fi­ca­tions du nombre de copies de l’ADN dans 9 régions de syndrome de micro­dé­lé­tion.
VIE DES SOCIETES   Vers un dépis­tage in vitro inno­vant du cancer du pancréas
L’ins­ti­tut de recherche en géno­mique trans­la­tion­nelle (TGen) et Asura­gen viennent de signer un accord pour déve­lop­per ensemble de nouvelles tech­no­lo­gies de dépis­tage du cancer pancréa­tique. Le seul test exis­tant dans le domaine étant un test de pronos­tic de la mala­die, les deux parte­naires souhaitent déve­lop­per des tests de diagnos­tic précoce pour cette mala­die qui est souvent décou­verte à un stade avancé, et ainsi étendre le champ des trai­te­ments possibles pour amélio­rer les pronos­tics de guéri­son.
Le but de cet accord est de combi­ner l’ex­per­tise d’Asu­ra­gen dans le déve­lop­pe­ment de diagnos­tics par sa méthode basée sur les microARN – petits ARN impliqués dans la régu­la­tion de l’ex­pres­sion des gènes -, avec les fortes capa­ci­tés de recherche de TGen. Ce dernier appor­tera notam­ment de solides collec­tions de sang issues d’in­di­vi­dus sains et de patients atteints de ce type de cancer ou d’ano­ma­lies pancréa­tiques diverses, grâce à ses parte­naires de recherche clinique. Ils béné­fi­cie­ront égale­ment des collec­tions four­nies par la colla­bo­ra­tion inter­na­tio­nale « Pancrea­tic cancer research team ». Asura­gen déve­loppe égale­ment un test portant sur l’adé­no­car­ci­nome pancréa­tique qui doit permettre de diffé­ren­cier cette patho­lo­gie des pancréa­tites chro­niques.
PROFESSION   Les nanos font le bilan
Après 4 mois de débat sur le thème du déve­lop­pe­ment et de la régu­la­tion des nano­tech­no­lo­gies, le bilan et le compte-rendu qui ont été remis au gouver­ne­ment ont été rendus publics. Il en ressort des attentes très fortes du public, qui a iden­ti­fié la gouver­nance du déve­lop­pe­ment des nano­tech­no­lo­gies comme la ques­tion centrale du débat.
Entre pilo­tage euro­péen et auto­no­mie natio­nale, les opinions divergent selon les orien­ta­tions initiales des acteurs du débat (asso­cia­tions, grand public, poli­tiques, scien­ti­fiques, syndi­cats…), soule­vant l’hy­po­thèse contro­ver­sée de la néces­sité d’un mora­toire sur le sujet. Les sujets d’inquié­tude du public concernent les risques sani­taires et envi­ron­ne­men­taux, la mécon­nais­sance des dangers spéci­fiques à ces maté­riaux, l’éva­lua­tion des menaces pour les liber­tés indi­vi­duelles au vu de la minia­tu­ri­sa­tion extrême de l’in­for­ma­tique, et le manque de traça­bi­lité, d’étique­tage et de trans­pa­rence des études préa­lables à la mise sur le marché. Le bon usage du prin­cipe de précau­tion et la néces­sité de consi­dé­rer le déve­lop­pe­ment des nano­tech­no­lo­gies comme une « affaire publique » semblent avoir fait l’una­ni­mité dans ce débat qui, bien entendu, est loin d’être terminé, et dont ont égale­ment émergé des ensei­gne­ments forts pour les débats futurs sur les sujets socié­taux.
PROFESSION   AVIESAN sur le Web
L’Al­liance natio­nale pour les sciences de la vie et de la santé (Avie­san), qui rassemble les grands acteurs des sciences de la vie et de la santé en France, lance son site inter­net ! Grâce à ce nouvel outil, chacun peut accé­der à l’en­semble des infor­ma­tions concer­nant Avie­san à travers un site clair et ergo­no­mique : ses objec­tifs, ses missions, ses parte­naires indus­triels.
La France se situe actuel­le­ment autour de la cinquième place mondiale en termes d’ex­cel­lence de la recherche en sciences de la vie et de la santé. Depuis avril 2009, les prin­ci­paux acteurs de cette recherche – CEA, CHU, CNRS, CPU, INRA, INRIA, Inserm, Insti­tut Pasteur et IRD – ont choisi de se rassem­bler pour créer Avie­san, une alliance née de la volonté d’ac­croître encore les perfor­mances de la recherche française en favo­ri­sant sa cohé­rence, sa créa­ti­vité, son excel­lence et sa visi­bi­lité. Les infor­ma­tions rela­tives à la recherche en sciences de la vie et de la santé, désor­mais coor­don­née au sein de dix insti­tuts théma­tiques multi-orga­nismes (ITMO) sont acces­sibles notam­ment grâce aux témoi­gnages vidéos des direc­teurs d’ITMO. De plus, chaque membre de l’Al­liance dispose d’une page de présen­ta­tion. Avie­san accroît égale­ment sa visi­bi­lité auprès du plus grand nombre, grâce à sa version anglaise.
SCIENCES   Nouveau biomarqueur post-infar­c­tus
Chaque année en France, en plus des 150 000 personnes qui décèdent d’une mala­die cardio­vas­cu­laire, 120 000 personnes déclarent un infar­c­tus du myocarde et 500 000 autres sont atteints d’in­suf­fi­sance cardiaque. Si la préven­tion est indis­pen­sable, le suivi médi­cal est tout aussi primor­dial. Il arrive notam­ment, après un infar­c­tus, que les malades déve­loppent des anoma­lies cardiaques, tel qu’un remo­de­lage du ventri­cule gauche, phéno­mène asymp­to­ma­tique diffi­cile à prédire, entraî­nant bien souvent une insuf­fi­sance cardiaque, voire la mort.
A l’ins­ti­tut Pasteur de Lille, des cher­cheurs ont mis en évidence un nouveau marqueur biolo­gique de ce phéno­mène, la phos­pho­ry­la­tion de la tropo­nine T. Sur des modèles animaux insuf­fi­sants cardiaques, ils ont démon­tré une dimi­nu­tion de cette phos­pho­ry­la­tion au niveau des ventri­cules gauches ainsi que dans le plasma, par rapport à des animaux sains. Des résul­tats confir­més chez des patients après un infar­c­tus : plus le remo­de­lage ventri­cu­laire gauche est avancé, plus la phos­pho­ry­la­tion obser­vée est faible. Un brevet a été déposé avec Inserm-Trans­fert, pour déve­lop­per cette méthode d’éva­lua­tion du risque, non inva­sive, large­ment dispo­nible et peu onéreuse.
SCIENCES   « Déses­ca­lade théra­peu­tique » grâce à la géné­tique
Les rhab­do­myo­sar­comes sont les cancers des tissus mous les plus fréquents chez les enfants. Ils repré­sentent envi­ron 5 % des tumeurs pédia­triques solides et surviennent le plus souvent au niveau de la tête et du cou, plus rare­ment dans la région génito-urinaire ou les membres, mais peuvent cepen­dant concer­ner toute partie du corps.
Jusqu’à présent, ce cancer était défini en fonc­tion de son aspect morpho­lo­gique au micro­scope : le sous type alvéo­laire (25 % des cas) étant plus agres­sif que le sous-type embryon­naire, le trai­te­ment néces­site le recours à des radio­thé­ra­pies et à des chimio­thé­ra­pies plus inten­sives avec parfois des consé­quences lourdes à long terme (cancers secon­daires, infer­ti­li­té…). A l’ins­ti­tut Curie, l’équipe du Dr Delattre, direc­teur de recherche Inserm, en colla­bo­ra­tion avec l’équipe de Janet Shipley de l’ins­ti­tut de recherche sur le cancer (Sutton, Grande-Bretagne) montre que ce risque évolu­tif peut désor­mais être déter­miné avec plus de préci­sion grâce à la géné­tique. Or, selon cette étude, certains rhab­do­myo­sar­comes, jusqu’à présent consi­dé­rés comme à haut risque, semblent fina­le­ment plus proches des tumeurs à risque stan­dard. Ainsi, en complé­tant le diagnos­tic par cette analyse géné­tique, il sera possible d’évi­ter des trai­te­ments lourds et leurs effets secon­daires à certains enfants.
puce Égale­ment dans Spec­tra Biolo­gie n° 180
  • EVALUATION Evalua­tion de l’au­to­mate d’im­muno-héma­to­lo­gie Gali­leo Echo®
    dans un Etablis­se­ment de Trans­fu­sion Sanguine
  • LABORATOIRE PRATIQUE Rôle du labo­ra­toire de bacté­rio­lo­gie
    en cas de suspi­cion d’in­ci­dents trans­fu­sion­nels bacté­riens
  • LABORATOIRE PRATIQUE Inté­rêt d’un algo­rithme auto­ma­tisé d’aide
    à l’in­ter­pré­ta­tion clinique de la calcé­mie
  • COLLOQUE SNBH Spec­tro­mé­trie de masse et iden­ti­fi­ca­tion bacté­rienne,
    l’ex­pé­rience du labo­ra­toire de micro­bio­lo­gie du CH de Mulhouse
  • COLLOQUE SNBH Inté­gra­tion des docu­ments GBEA dans la struc­ture docu­men­taire
    répon­dant aux exigences de la norme NF EN ISO 15189
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puce Mani­fes­ta­tions
      >> 27e Colloque IBS-CORATA & 18es Jour­nées de Biolo­gie de Marseille
      MARSEILLE – 15–17 septembre
        • www.ibs-corata.org
        • www.biolam-paca.org
      >> 7e Confé­rence annuelle de la société alle­mande de chimie clinique et de labo­ra­toire
      MANNHEIM (Alle­magne) – 29 septembre- 2 octobre
        • www.dgkl2010.de
      >> 5e Colloque de biolo­gie pros­pec­tive de Santo­rin
      SANTORIN (Grèce) – 30 septembre- 2 octobre
        • www.santo­ri­ni2010.org
      >> 39e Colloque Natio­nal des Biolo­gistes des Hôpi­taux
      LILLE – 4–8 octobre
        • www.snbh.asso.fr
      >> 4e Sympo­sium biocli­nique diabète
      STRASBOURG – 14–15 octobre
        • www.sfmn.org
      >> Congrès du GEHT
      DIJON – 21–22 octobre
        • http://site.geht.org
      >> 11th Euro­pean Sympo­sium on Plate­let & Granu­lo­cyte Immu­no­logy
      BEAUNE – 21–24 octobre
        • www.sfts.asso.fr
      >> 55es Jour­nées Inter­na­tio­nales de Biolo­gie
      PARIS (La Défense) – 2–5 novembre
        • www.jib-sdbio.fr
La News­let­ter Spec­tra Biolo­gie est une publi­ca­tion des éditions PCI
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