– Dans le numéro 203 de Spec­tra Biolo­gie –

puce Inno­va­tions
BIOCHIMIE
HbA1c auto­ma­tisé nouvelle version

abbott_architect_HbA1c

Abbott Diagnos­tics propose un nouveau réac­tif pour le dosage de l’HbA1c, destiné aux modules chimie c4000 et c8000 des plate­formes ARCHITECT. Ce réac­tif, destiné à rempla­cer progres­si­ve­ment le réac­tif exis­tant, possède les carac­té­ris­tiques suivantes :
– Coffret validé pour le suivi et le diagnos­tic du diabète sucré
– Utili­sa­tion possible sur sang total avec prélè­ve­ment auto­ma­tisé dans le tube primaire
– Réac­tif certi­fié NGSP, traçable IFCC et DCCT
– Excel­lente corré­la­tion avec des méthodes de réfé­rence secon­daires NGSP
– Excel­lentes préci­sion et repro­duc­ti­bi­lité dans les zones déci­sion­nelles
– Méthode enzy­ma­tique sans inter­fé­rence avec les variants S, C, D et E
– Sans inter­fé­rence par les hémo­glo­bines carba­my­lées ou acéty­lées, ni par les HbA1c labiles.
Il est proposé en coffret de 300 tests, avec une stabi­lité de la cali­bra­tion de 50 jours. Il permet aux labo­ra­toires de conso­li­der leur dosage d’HbA1c sur leur plate­forme d’im­mu­no­chi­mie, et donc de gagner en produc­ti­vité en rédui­sant le nombre d’au­to­mates du labo­ra­toire.

BIOCHIMIE
Lecteur de bande­lettes urinaires compact

DocUReader 2 de Sysmex

Grâce à une tech­no­lo­gie inno­vante de détec­tion des bande­lettes, le DocURea­der 2 Pro peut lire jusqu’à 50 bande­lettes par heure en mode de démar­rage auto­ma­tique, alliant ainsi rapi­dité et respect des temps d’in­cu­ba­tion. Ce lecteur de paillasse compact est facile à utili­ser grâce à son écran tactile couleur et à ses opéra­tions de main­te­nance très limi­tées. Les fonc­tion­na­li­tés de gestion des opéra­teurs, des résul­tats et des CQ ainsi que ses possi­bi­li­tés de connexion bidi­rec­tion­nelle rendent le DocURea­der 2 Pro tout à fait compa­tible à une démarche d’ac­cré­di­ta­tion.
Asso­cié aux bande­lettes LabS­trip U11 Plus, propo­sant 11 para­mètres, et aux CQ Quan­ti­me­trix prêts à l’em­ploi et stables à tempé­ra­ture ambiante, DocURea­der 2 Pro propose une solu­tion complète pour la lecture de bande­lettes urinaires et l’ex­ploi­ta­tion des résul­tats dans le respect des normes d’ac­cré­di­ta­tion.

TRANSFUSION
Test de contrôle ultime pré-trans­fu­sion­nel
Diagast propose une nouvelle carte de déter­mi­na­tion visuelle de compa­ti­bi­lité érythro­cy­taire ABO entre le patient et le culot globu­laire à trans­fu­ser dans le cadre pré-trans­fu­sion­nel du contrôle ultime au lit du malade : l’ABTest Card. Le prin­cipe est basé sur la fixa­tion des globules rouges sur une membrane poreuse fonc­tion­na­li­sée. Les héma­ties testées, porteuses d’un anti­gène, réagissent avec les anti­corps corres­pon­dants immo­bi­li­sés dans la membrane des zones réac­tives. Le résul­tat est colo­ri­mé­trique : une pastille rouge uniforme donne un résul­tat posi­tif, une pastille verte trans­lu­cide donne un résul­tat néga­tif.
Le test s’ef­fec­tue seule­ment en 3 étapes : hydra­ta­tion des puits avec la solu­tion de lavage, dépôt d’une goutte de sang direc­te­ment dans chaque puits et remplis­sage des puits avec la solu­tion de lavage. La lecture est instan­ta­née et le test ne néces­site ni agita­tion (pas de risque de conta­mi­na­tion croi­sée), ni temps d’at­tente. Les échan­tillons sont absor­bés dans le dispo­si­tif évitant ainsi les risques de renver­se­ment et d’ex­po­si­tion au sang. Enfin, ce test permet une traça­bi­lité complète grâce à une étiquette déta­chable et auto­col­lante sur laquelle on peut consi­gner l’iden­tité du patient/culot et du prati­cien ayant réalisé le test, ainsi que les résul­tats et la conclu­sion du test.

BIOLOGIE MOLECULAIRE
Iden­ti­fier les patho­gènes du sepsis

 BCID Filmarray de Biofire

Deux mois avant d’être rache­tée par bioMé­rieux, la société améri­caine BioFire Diagnos­tics, Inc. ancien­ne­ment Idaho Tech­no­logy, Inc., annonçait avoir reçu le marquage CE pour son panel d’iden­ti­fi­ca­tion d’hé­mo­cul­ture BCID FilmAr­ray®. Ce panel multi­plex teste les hémo­cul­tures posi­tives et peut iden­ti­fier plus de 100 patho­gènes sanguins connus pour causer la septi­cé­mie, mala­die grave au taux de morta­lité compris entre 10 % et 38 %.
Il est conçu pour iden­ti­fier les orga­nismes respon­sables plus rapi­de­ment que par les méthodes d’iden­ti­fi­ca­tion tradi­tion­nelles : la procé­dure facile ne demande que deux minutes d’in­ter­ven­tion. Le panel peut iden­ti­fier des patho­gènes dans 9 hémo­cul­tures posi­tives sur 10 en une heure envi­ron. Ce test a l’avan­tage de four­nir des résul­tats pour les bacté­ries à Gram posi­tif, les bacté­ries à Gram néga­tif et les levures causant les infec­tions. Par ailleurs, il détecte quatre gènes de résis­tance anti­mi­cro­biens (mecA, vanA, vanB et blaKPC) connus pour confé­rer une résis­tance à la méthi­cil­line/oxacil­line, à la vanco­my­cine, et aux carba­pé­nèmes, afin de guider le méde­cin vers une pres­crip­tion appro­priée, dans des délais plus accep­tables.

BIOLOGIE MOLECULAIRE
Panels de PCR en temps réel multi­plex
La société LAUNCH Diagnos­tics Ltd distri­bue plus de 60 panels de PCR en temps réel multi­plex dans le domaine des mala­dies infec­tieuses.
En bacté­rio­lo­gie, l’offre comprend le diagnos­tic des ménin­gites – N menin­gi­ti­dis, S. pneu­mo­niae, H. influen­zae, S. agalac­tiae, L. mono­cy­to­genes, E. coli – des infec­tions sexuel­le­ment trans­mis­sibles – C. tracho­ma­tis, N. gonor­rhoeae, M. geni­ta­lium – des bacté­ries respi­ra­toires – M. pneu­mo­niae, S. pneu­mo­niae, Legio­nella spp – et le diagnos­tic de la coque­luche avec la diffé­ren­cia­tion des espèces – B. pertus­sis, B. para­per­tus­sis, B. holme­sii, B. bron­chi­sep­tica.
En viro­lo­gie, la gamme se compose du diagnos­tic des ménin­gites virales – HSV-1, HSV-2, VZV, oreillons, enté­ro­vi­rus, pare­cho­vi­rus – des virus respi­ra­toires (panel de 20 virus avec diffé­ren­cia­tion entre les enté­ro­vi­rus et les rhino­vi­rus et M. pneu­mo­niae), des virus enté­riques – rota­vi­rus, adéno­vi­rus, noro­vi­rus I et II, astro­vi­rus, sapo­vi­rus – et de la quan­ti­fi­ca­tion multi­plexe dans le suivi des greffes – CMV, EBV, adéno­vi­rus/BKV.
Enfin, les panels de para­si­to­lo­gie/myco­lo­gie détectent Plas­mo­dium spp et la diffé­ren­cia­tion des espèces – P. falci­pa­rum, P. vivax, P. ovale, P. mala­riae – les para­sites dans les selles – Cryp­to­spo­rum spp, Giar­dia spp, E. histo­ly­tica – les derma­to­phytes (tricho­phy­ton et micro­spo­rum) et Pneu­mo­cys­tis jiro­ve­cii.
Les sondes d’hy­dro­lyse de PCR en temps réel sont marquées avec les fluo­ro­chromes FAM, VIC, TxR et Cy5. Tous les kits utilisent le même profil d’am­pli­fi­ca­tion ther­mique en one step avec contrôle interne d’in­hi­bi­teurs à extraire, et sont vali­dés sur tous les ther­mo­cy­cleurs équi­pés d’un canal de lecture en Cy5.

BIOLOGIE MOLECULAIRE
Diagnos­tic person­na­lisé du GIST
La gamme de trousses de diagnos­tic in vitro en expan­sion perma­nente de Qiagen comprend main­te­nant une nouvelle trousse pour la détec­tion quan­ti­ta­tive rapide de muta­tions des gènes KIT et PDGFRA. Ces muta­tions sont connues pour leur impli­ca­tion dans le déclen­che­ment de nombreux cas de tumeurs stro­males gastro-intes­ti­nale (GIST) et influent sur la réac­tion au trai­te­ment par l’ima­ti­nib. La trousse, nommée theras­creen® GIST RapidS­creen Pyro Kit, offre des résul­tats cliniques sur le statut muta­tion­nel en 3h. Elle permet une détec­tion précise de l’in­ser­tion dans l’exon 9 de KIT liée au dosage de l’ima­ti­nib, ainsi qu’une détec­tion sensible de la muta­tion de l’exon 18 de PDGFRA liée à la résis­tance à l’ima­ti­nib. Ce test a été déve­loppé par une équipe d’ex­perts quali­fiés du CIO GIST à Cologne (Alle­magne).
Utili­sant la tech­no­lo­gie de pyro­sé­quençage de Qiagen sur le système PyroMark Q24, la détec­tion rapide de ces muta­tions permet une prise de déci­sion immé­diate sur la dose d’ima­ti­nib appro­priée et peut aider à exclure les géno­types moins sensibles ou résis­tants. Le kit contient les enzymes, les amorces et les réac­tifs néces­saires tant à l’am­pli­fi­ca­tion des gènes qu’à la détec­tion et à la quan­ti­fi­ca­tion des muta­tions en temps réel.

BIOLOGIE MOLECULAIRE
Diagnos­tic multi­plex pour les mala­dies infec­tieuses
Thera­diag lance deux nouveaux kits multi­plexes pour le diagnos­tic molé­cu­laire des causes multiples de mala­dies virales respi­ra­toires et de gastro-enté­rites infec­tieuses. Le premier kit respi­ra­toire est un test de biolo­gie molé­cu­laire multi­plexe capable d’iden­ti­fier simul­ta­né­ment 19 types et sous-types de virus par des prélè­ve­ments naso-pharyn­gés, aspi­ra­tions nasales et lavages bron­cho-alvéo­laires d’in­di­vi­dus souf­frant d’in­fec­tions des voies respi­ra­toires. C’est un test respi­ra­toire de première ligne réali­sable en moins de 4 heures grâce à une réduc­tion du temps de mani­pu­la­tion et un gain de produc­ti­vité au labo­ra­toire. Ce large panel permet d’iden­ti­fier des co-infec­tions diffi­ciles à déce­ler et respon­sables de l’exa­cer­ba­tion des symp­tômes des patients.
Le second kit gastro-intes­ti­nal est un outil multi­plexe permet­tant l’iden­ti­fi­ca­tion de patho­gènes (virus, bacté­ries et para­sites) respon­sables des gastroen­té­rites. C’est le premier kit de diagnos­tic molé­cu­laire complet, qui couvre plus de 90 % d’in­fec­tions causées par des bacté­ries, virus et para­sites en un seul test. Ce kit peut deve­nir un outil clinique impor­tant dans la gestion de mala­dies gastro-intes­ti­nales en appor­tant aux méde­cins une solu­tion plus rapide et complète, par rapport aux méthodes diagnos­tiques conven­tion­nelles.

HEMATOLOGIE
Stan­dar­di­ser les frot­tis héma­to­lo­giques

RAL Stainer de Sysmex

Le RAL Stai­ner est un colo­ra­teur design, compact et robuste. Il possède un système d’iden­ti­fi­ca­tion par puce RFID permet­tant d’ex­traire toutes les données de traça­bi­lité. Conçu pour être un allié de choix dans un contexte d’ac­cré­di­ta­tion, son mot d’ordre est la stan­dar­di­sa­tion des colo­ra­tions, qui ne sont plus  » opéra­teur-dépen­dantes « . Il fonc­tionne avec un kit de réac­tifs pré-confi­guré composé de colo­rants sans métha­nol, appe­lés MCDh. Ces colo­rants inno­vants permettent de travailler en toute sécu­rité. De plus, leur utili­sa­tion au sein de ce colo­ra­teur, composé d’une enceinte fermée et doté d’un filtre au char­bon actif, sécu­rise encore plus le proces­sus.
11 minutes suffisent pour colo­rer jusqu’à 10 frot­tis héma­to­lo­giques et un seul kit permet de réali­ser jusqu’à 500 lames. En plus du proto­cole stan­dard validé et implé­menté dans l’ap­pa­reil, il est possible de créer jusqu’à 10 proto­coles person­na­li­sables. Ce dispo­si­tif consti­tue un compa­gnon de choix pour les solu­tions Sysmex stand-alone XN-1000 et XN-2000. Il est tout aussi indiqué comme auto­mate complé­men­taire ou en back-up dans les labo­ra­toires à plus forte acti­vité équi­pés d’un étaleur-colo­ra­teur SP.

IMMUNO-ANALYSE
Immu­no­sup­pres­seurs sous surveillance
Roche a annoncé le lance­ment à l’échelle mondiale (sauf aux Etats-Unis) de deux nouveaux tests haute­ment sensibles desti­nés au moni­to­rage d’une phar­ma­co­thé­ra­pie par deux immu­no­sup­pres­seurs : le tacro­li­mus et la ciclo­spo­rine, deux médi­ca­ments large­ment utili­sés pour préve­nir les rejets de greffes. Les nouveaux tests Elec­sys Tacro­li­mus et Cyclo­spo­rine permettent aux profes­sion­nels de santé d’ob­te­nir des résul­tats plus précis et plus fiables. Ils sont conçus pour être utili­sés sur les analy­seurs modu­laires cobas de Roche, pour opti­mi­ser les flux de travail et amélio­rer l’ef­fi­cience dans les labo­ra­toires médi­caux.
Les immu­no­sup­pres­seurs, qui doivent être pris à vie par les trans­plan­tés pour préve­nir les rejets de greffe, n’ont pas les effets souhai­tés si les doses sont trop faibles, et peuvent entraî­ner de sévères effets indé­si­rables en cas de doses exces­sives.

MATERIEL ET SERVICES DE LABORATOIRE
Séro­thèque pour micro­plaques au format SBS

Sero'Box d'AccsA'tech

AccsA’­tech est spécia­li­sée dans la gestion de séro­thèque centra­li­sée et propose des solu­tions clé en main ou sur mesure. La gamme Sero’Box vient de s’en­ri­chir de nouveaux modules pour le stockage de micro­plaques au format SBS. Le système intègre un mini scan­ner afin de lire la boîte code-barres 1D et les tubes Data matrix 2D (96 puits ou 48 puits) en 5 secondes. Chaque micro­plaque est iden­ti­fiée et loca­li­sée suivant son lieu de stockage. Chaque boîte et chaque tube enre­gis­tré est tracé pour une durée plus ou moins longue. La recherche est ainsi faci­li­tée grâce au logi­ciel perfor­mant inté­gré.
Sero’Box offre une grande modu­la­rité par son système de stockage, en tubes et/ou en micro­plaques. Cette confi­gu­ra­tion peut s’in­ter­fa­cer aux diffé­rents aliquo­teurs sur le marché afin d’op­ti­mi­ser les données de votre séro­thèque. Sero’Box souhaite ainsi répondre aux néces­si­tés dues à l’ac­cré­di­ta­tion grâce à la traça­bi­lité des tubes et à la gestion de la tempé­ra­ture en temps réel.
puce Actua­li­tés
VIE DES SOCIETES bioMé­rieux acquiert un acteur majeur et complète sa gamme
bioMé­rieux, acteur mondial du diagnos­tic in vitro , a fina­lisé un accord majeur pour son déve­lop­pe­ment : l’ac­qui­si­tion de la société privée améri­caine BioFire Diagnos­tics Inc., spécia­li­sée en biolo­gie molé­cu­laire, pour plus de 450 millions de dollars. Cette société a inventé, produit et commer­cia­lise le système FilmAr­ray®, une solu­tion de biolo­gie molé­cu­laire PCR multi­plexe, simple, rapide, et dédiée au diagnos­tic des mala­dies infec­tieuses. En dyna­mi­sant plus encore les ventes de ce système et en enri­chis­sant son menu, bioMé­rieux entend renfor­cer sa posi­tion d’ac­teur majeur du diagnos­tic des mala­dies infec­tieuses, son prin­ci­pal axe stra­té­gique.
Fondée il y a plus de 20 ans, BioFire a déve­loppé, produit et commer­cia­lisé de nombreux auto­mates de biolo­gie molé­cu­laire, dont le LightCy­cler®, licen­cié à Roche Diagnos­tics. Experte en tech­no­lo­gie PCR, l’amé­ri­cain a récem­ment déve­loppé FilmAr­ray®, un système origi­nal basé sur une approche syndro­mique des mala­dies infec­tieuses. Le concept est l’ana­lyse d’un ensemble de symp­tômes pour iden­ti­fier, dans un seul réac­tif, les patho­gènes respon­sables, qu’ils soient viraux ou bacté­riens. Ce système fermé intègre toutes les étapes du diagnos­tic molé­cu­laire – de la prépa­ra­tion à l’ana­lyse des résul­tats – pour une réali­sa­tion aisée au sein des labo­ra­toires. Ce dispo­si­tif renforce ainsi l’ef­fi­ca­cité médi­cale et écono­mique du diagnos­tic. Le premier consom­mable commer­cia­lisé par la société est un panel respi­ra­toire qui teste 20 cibles virales et bacté­riennes et dont les résul­tats sont dispo­nibles dans l’heure qui suit. Il a reçu tant le marquage CE que l’au­to­ri­sa­tion de la FDA, tout comme le panel de détec­tion du sepsis. D’autres panels (infec­tions gastro-intes­ti­nales, ménin­gi­te…) sont en déve­lop­pe­ment.
Les 2 socié­tés présentent de fortes syner­gies stra­té­giques. Le système FilmAr­ray® est un atout clé pour le déve­lop­pe­ment de la fran­chise de bioMé­rieux dans le diagnos­tic des mala­dies infec­tieuses, son domaine d’ex­per­tise prin­ci­pal qui repré­sente 85 % de ses ventes dans les appli­ca­tions cliniques. D’après les travaux de R&D en cours, ce dispo­si­tif devrait permettre d’ici 3 ans la détec­tion de plus de 70 patho­gènes à l’ori­gine d’in­fec­tions respi­ra­toires, gastro-intes­ti­nales et sanguines. Il complète donc judi­cieu­se­ment le posi­tion­ne­ment de bioMé­rieux d’ac­teur spécia­lisé de la biolo­gie molé­cu­laire, qui s’ap­puie notam­ment sur le système d’ex­trac­tion easyMAG® et la gamme ARGENE. En outre, l’offre de BioFire béné­fi­ciera du réseau commer­cial étendu et dyna­mique de bioMé­rieux, notam­ment en Amérique du Nord et en Europe. Enfin, bioMé­rieux appor­tera son savoir-faire pour auto­ma­ti­ser la produc­tion des réac­tifs et en amélio­rer le prix de revient.
 » L’ac­qui­si­tion de BioFire s’ins­crit parfai­te­ment dans la stra­té­gie de crois­sance externe sélec­tive de bioMé­rieux. Après l’achat d’AES qui nous a permis de déve­lop­per notre leader­ship dans les appli­ca­tions indus­trielles, d’ARGENE qui enre­gistre une crois­sance orga­nique très rapide de 31 % à fin juin 2013 et le parte­na­riat récem­ment signé avec Quan­te­rix dans les immu­noes­sais ultra­sen­sibles et multi­plexes, cette nouvelle acqui­si­tion est une étape déci­sive pour notre société.  « , déclare Jean-Luc Belin­gard, président direc­teur géné­ral de bioMé­rieux.  » Nous dispo­sons main­te­nant, sur tous nos marchés, d’un porte­feuille complet de tech­no­lo­gies parti­cu­liè­re­ment inno­vantes […] En outre, le site de BioFire à Salt Lake City devien­dra notre site prin­ci­pal pour le déve­lop­pe­ment de nos acti­vi­tés en biolo­gie molé­cu­laire. « 

VIE DES SOCIETES AB Sciex : nouvelle entrée dans le monde du diagnos­tic in vitro
Le géant améri­cain de l’ana­lyse de labo­ra­toire AB Sciex a investi en début d’an­née le monde du diagnos­tic in vitro en lançant deux nouveaux systèmes de spec­tro­mé­trie de masse, l’API 3200MDTM et le 3200MDTM QTRAP® LC/MS/MS. Cette gamme 3200MD vient de rece­voir le marquage CE pour la commer­cia­li­sa­tion aux labo­ra­toires de biolo­gie médi­cale privés et hospi­ta­liers en Europe.
La société présente l’API 3200MDTM LC/MS/MS comme un spec­tro­mètre de masse triple quadri­pôle destiné à une analyse quan­ti­ta­tive sûre, et le QTRAP® 3200MDTM LC/MS/MS comme offrant un niveau supplé­men­taire de flexi­bi­lité pour l’ana­lyse quan­ti­ta­tive et quali­ta­tive en un seul passage. Ces systèmes de paillasse compacts sont conçus pour le haut débit continu et sont compa­tibles avec la gestion du work­flow par lecture de codes à barres. Ils peuvent être connec­tés aux systèmes infor­ma­tiques de labo­ra­toire (SIL/LIMS) et s’in­sé­re­raient faci­le­ment dans le flux de travail d’un labo­ra­toire de diagnos­tic clinique.
Pour Rainer Blair, président d’AB SCIEX,  » le diagnos­tic clinique est la nouvelle fron­tière pour la spec­tro­mé­trie de masse.  » Il ajoute  » L’uti­li­sa­tion de la tech­no­lo­gie LC/MS/MS pour le diagnos­tic clinique a déjà fait ses preuves pour déli­vrer des résul­tats plus rapides et plus précis à moindre coût par rapport aux tech­no­lo­gies exis­tantes. « 
Après deux décen­nies de succès de leurs spec­tro­mètres de masse desti­nés à la recherche, la société ambi­tionne de permettre l’adop­tion de ces tech­no­lo­gies pour les analyses de routine. Leur robus­tesse et leur faci­lité d’uti­li­sa­tion en feraient un instru­ment privi­lé­gié pour les labo­ra­toires de toutes tailles. En paral­lèle, elle déve­loppe actuel­le­ment son offre de services amélio­rés et de soutien spéci­fique pour le diagnos­tic clinique.
L’an­nonce de la société a été faite lors de la confé­rence EuroMedLab à Milan. Jusqu’à présent foca­li­sée sur la recherche biomé­di­cale, la décou­verte et le déve­lop­pe­ment de médi­ca­ments, les tests de sécu­rité alimen­taire, la recherche clinique et la toxi­co­lo­gie médico-légale, AB Sciex avait annoncé en 2012 sa volonté d’ob­te­nir la certi­fi­ca­tion ISO 13485:2003, la norme repré­sen­tant les exigences rela­tives à un système complet de gestion de la qualité pour la concep­tion et la fabri­ca­tion de dispo­si­tifs médi­caux.
La série 3200MD est en réalité la première d’une famille de dispo­si­tifs dédiée à l’iden­ti­fi­ca­tion des compo­sés miné­raux ou orga­niques dans les échan­tillons humains, que la société souhaite lancer à desti­na­tion du diagnos­tic clinique. Le groupe prévoit le déploie­ment prochain de ces systèmes partout dans le monde, au rythme de l’ob­ten­tion des diverses homo­lo­ga­tions, en accord avec sa stra­té­gie visant à élar­gir l’uti­li­sa­tion de sa tech­no­lo­gie dans le diagnos­tic clinique.

VIE DES SOCIETES L’an­glais Launch s’ins­talle dans l’Hexa­gone
La société Launch Diagnos­tics Ltd, spécia­li­sée dans la distri­bu­tion de réac­tifs de diagnos­tic en Angle­terre, s’im­plante sur le marché français en biolo­gie molé­cu­laire, géné­tique molé­cu­laire et séro­lo­gie EIA.
Forte de 55 colla­bo­ra­teurs basés dans le Kent, Launch Diagnos­tics Ltd est née en 1990 d’une joint-venture avec la société Biokit Ltd puis est deve­nue leader dès 1993 en séro­lo­gies infec­tieuses avec les auto­mates sur plaque de la société Dynex (DSx, DS2). En 2001, la société a conquis le marché de l’auto-immu­nité à travers la distri­bu­tion de la gamme Orgen­tec SAS. Le déve­lop­pe­ment s’est accé­léré en 2012 avec l’in­tro­duc­tion de nouveaux parte­naires dans le diagnos­tic molé­cu­laire : la société Inno­ge­ne­tics, le fabri­cant luxem­bour­geois de panels de PCR en temps réel multi­plex Fast-Track Diagnos­tics et la société suédoise Devy­ser, fabri­cant de kits de géné­tique molé­cu­laire en QF-PCR pour les aneu­ploï­dies chro­mo­so­miques et le diagnos­tic de la muco­vis­ci­dose.
L’en­semble des réac­tifs marqués CE produits par Fast-Track Diagnos­tics et Devy­ser est distri­bué en exclu­si­vité sur la France par Launch Diagnos­tics. Le marché français consti­tue un axe de déve­lop­pe­ment stra­té­gique majeur en biolo­gie molé­cu­laire pour cette société, qui parie que l’ap­proche syndro­mique des panels multi­plex par PCR Temps réel devrait séduire dans les prochains mois une grande majo­rité de centres hospi­ta­liers.

VIE DES SOCIETES Roche inves­tit pour l’hé­ma­to­lo­gie inté­grée
Roche a annoncé aujourd’­hui avoir acquis Cons­ti­tu­tion Medi­cal Inves­tors, Inc. (CMI), société basée à Boston, Massa­chu­setts (USA). CMI est le déve­lop­peur d’un système de test héma­to­lo­gique haute­ment inno­vant, permet­tant un diagnos­tic plus rapide et plus précis des mala­dies liées au sang, et amélio­rant ainsi la qualité des soins. CMI a été créée et finan­cée par le groupe de private equity Warburg Pincus et par des membres de la direc­tion de CMI. Selon les termes de l’ac­cord, Roche versera aux action­naires de CMI un montant initial de 220 millions d’USD et procé­dera à des paie­ments ulté­rieurs en fonc­tion de la réali­sa­tion de certains objec­tifs. CMI fera office de centre d’ex­cel­lence dans le domaine de l’hé­ma­to­lo­gie au sein de Roche Diagnos­tics.
Cette acqui­si­tion va permettre au groupe suisse d’avan­cer vers des solu­tions de labo­ra­toire inté­grées utili­sant des produits inno­vants, pour un diagnos­tic plus rapide et plus précis de mala­dies sanguines telles que l’ané­mie et la leucé­mie. La tech­no­lo­gie Blood­houndTM est au cœur d’un système entiè­re­ment auto­ma­tique en cours de déve­lop­pe­ment, capable d’ac­croître l’ef­fi­cience et de réduire l’en­com­bre­ment au labo­ra­toire en remplaçant plusieurs postes de travail par une seule unité compacte. Il réunit le comp­tage de cellules, l’ana­lyse morpho­lo­gique numé­rique et la clas­si­fi­ca­tion cellu­laire des globules blancs, globules rouges et des plaquettes en un seul appa­reil.
Ces nouvelles ressources héma­to­lo­giques vont soute­nir la crois­sance de Roche et renfor­cer sa compé­ti­ti­vité sur le marché mondial des tests héma­to­lo­giques pour labo­ra­toires, estimé à plus de 2 milliards d’USD en 2011.

VIE DES SOCIETES Méde­cine person­na­li­sée et cogni­tion
Skuld­tech, spécia­liste des biomarqueurs géno­miques déve­lop­pant des tests de diagnos­tics, a obtenu un finan­ce­ment de 1 million d’eu­ros de Bpifrance, dans le cadre d’un projet sur la mala­die d’Alz­hei­mer dispo­sant d’une enve­loppe totale de 8,6 millions d’eu­ros. Pour l’oc­ca­sion, Skuld­tech s’est de nouveau asso­ciée à AB Science. La société mont­pel­lié­raine capi­ta­li­sera sur sa plate­forme tech­no­lo­gique de séquençage haut débit et déve­lop­pera un diagnos­tic compa­gnon du masi­ti­nib, la molé­cule théra­peu­tique d’AB Science, ainsi qu’un diagnos­tic de vali­da­tion des tests cogni­tifs et de prédic­tion de l’évo­lu­tion du déve­lop­pe­ment de la mala­die d’Alz­hei­mer. Pour iden­ti­fier les marqueurs discri­mi­nant les personnes les plus suscep­tibles de béné­fi­cier de ce trai­te­ment, elle dispo­sera des échan­tillons utili­sés pour l’es­sai clinique du masi­ti­nib dans cette mala­die. Cette approche a déjà été suivie avec succès par les deux parte­naires et a débou­ché sur un nouveau trai­te­ment du cancer du pancréas asso­ciant gemci­ta­bine et masi­ti­nib.
Ce nouveau projet complète le récent succès de Skuld­tech dans l’iden­ti­fi­ca­tion de biomarqueurs sanguins liés à un score cogni­tif. La société avait déjà iden­ti­fié deux ensembles de nouveaux marqueurs sanguins asso­ciés chacun à deux popu­la­tions de patients atteints de triso­mie 21 et présen­tant des niveaux de QI diffé­rents. Grâce au profil trans­crip­to­mique sanguin des groupes, elle avait iden­ti­fié des biomarqueurs corré­lés à des niveaux de réponse diffé­rents à des tests cogni­tifs. Fondée en 1999, Skuld­tech est située sur le Biopôle de Mont­pel­lier et membre des clus­ters Santé de son terri­toire : Euro­me­diag/Euro­bio­med, Cancé­ro­pôle Grand Sud-Ouest et Biome­ri­dies.

PROFESSION Authen­ti­fi­ca­tion et nom de nais­sance
Première étape de la prise en charge, le recueil de l’iden­tité se traduit par l’en­re­gis­tre­ment de données dans le système d’in­for­ma­tion (SI) de l’éta­blis­se­ment dans le respect de la loi n°78–17 du 6 janvier 1978 rela­tive à l’in­for­ma­tique, aux fichiers et aux liber­tés et de la loi n°202–303 du 4 mars 2002 rela­tive aux droits des malades. L’ins­truc­tion rela­tive à l’uti­li­sa­tion du nom de famille (ou nom de nais­sance) pour l’iden­ti­fi­ca­tion des patients a été signée le 7 juin 2013 et précise les règles de saisie à inclure dans la charte d’iden­tito-vigi­lance de l’éta­blis­se­ment.
L’ins­truc­tion précise que  » Seuls le nom de famille (appelé aussi nom de nais­sance), le sexe et la date de nais­sance doivent être rete­nus au titre des traits stricts ; et ce pour le sexe mascu­lin comme fémi­nin.  » Les SI doivent inté­grer les champs permet­tant la saisie de ces traits d’iden­tité et leurs moteurs de recherche doivent systé­ma­tique­ment inter­ro­ger le nom de nais­sance, et secon­dai­re­ment les diffé­rents noms d’usages du patient.
Le texte liste égale­ment les règles de bonne saisie visant à homo­gé­néi­ser les données et à éviter la créa­tion de doublons : utili­sa­tion exclu­sive des majus­cules, des 26 lettres de l’al­pha­bet ou des chiffres de 0 à 9 pour les dossiers anonymes. Les carac­tères diacri­tiques (lettres avec accents, trémas, cédilles…), les asté­risques, la ponc­tua­tion ou les abré­via­tions sont pros­crits. Un tiret ou une apos­trophe sera rempla­cée par un « espace ». Enfin, les noms trop longs pour être saisis en entier seront tronqués, sans abré­via­tion.

SCIENCES Copep­tine : prête pour élimi­ner le SCA ?
La problé­ma­tique de la surcharge des urgences rend d’ac­tua­lité l’étude Biomar­kers in Cardio­logy (BIC)-8 menée par le Pr M. Möckel (cher­cheur en cardio­lo­gie et direc­teur des urgences au CHU Charité Mitte de Berlin) et présen­tée par la société Thermo Fisher Scien­ti­fic à l’ESC Congress 2013 à Amster­dam. Cette étude pros­pec­tive, rando­mi­sée, ouverte, contrô­lée et multi­cen­trique, devait évaluer les effets de l’in­té­gra­tion du biomarqueur copep­tine dans la gestion des patients suspec­tés d’un syndrome cardiaque aigu (SCA).
BIC-8 devait déter­mi­ner s’il est sûr de faire sortir un patient suspecté de SCA lorsque les tests à la tropo­nine et à la copep­tine sont néga­tifs lors de l’ad­mis­sion. Les 902 patients de l’étude présen­taient initia­le­ment un test néga­tif à la tropo­nine. Dans le groupe expé­ri­men­tal (n = 451), les patients avec un test néga­tif à la copep­tine (moins de 10 pmol/L) sont sortis en soins externes après une évalua­tion clinique finale, suivie par une consul­ta­tion externe dans les 72 heures. Ceux présen­tant un test posi­tif à la copep­tine ont reçu un trai­te­ment stan­dard. Les patients du groupe stan­dard (n = 451) ont été trai­tés selon les direc­tives habi­tuelles, et les résul­tats de leur test à la copep­tine n’ont pas été révé­lés au person­nel soignant.
L’étude a révélé qu’au cours du suivi de 30 jours, la propor­tion d’évé­ne­ments cardiaques graves était simi­laire pour les deux groupes (5,46 % pour le groupe expé­ri­men­tal et 5,5 % pour le groupe stan­dard). Cepen­dant, le taux de sortie du service d’ur­gence était nota­ble­ment supé­rieur pour le groupe expé­ri­men­tal (66 % contre 12 % ; p < 0,001), ce qui soutien­drait la néces­sité d’un nouvel algo­rithme de trai­te­ment pour les patients suspec­tés de SCA avec un risque faible à inter­mé­diaire.
Le profes­seur Martin Möckel a déclaré vouloir mettre en place aux urgences de son établis­se­ment un nouvel algo­rithme, basé sur la tropo­nine et la copep­tine, dès l’étude publiée.

SCIENCES Résis­tance et dispo­ni­bi­lité en fer
La bacté­rie Esche­ri­chia coli devien­drait résis­tante à certains anti­bio­tiques si elle se déve­loppe dans un envi­ron­ne­ment pauvre en fer. Selon une étude menée par les cher­cheurs du Labo­ra­toire de chimie bacté­rienne (CNRS / Aix-Marseille Univer­sité) à Marseille, la concen­tra­tion en fer influe direc­te­ment sur la perméa­bi­lité des bacté­ries aux anti­bio­tiques. Les auteurs ont montré que les  » centres fer-soufre « , des enti­tés chimiques essen­tielles des orga­nismes vivants, jouent un rôle central dans le chan­ge­ment de perméa­bi­lité et dans l’aug­men­ta­tion de résis­tance aux amino­gly­co­sides, une famille d’an­ti­bio­tiques. Ces travaux ouvrent de nouvelles pers­pec­tives pour comprendre le méca­nisme d’émer­gence des patho­gènes résis­tants.

SCIENCES Nouveau gène de résis­tance à l’in­su­line
La résis­tance à l’in­su­line est souvent étudiée sous des formes rares mais plus simples biolo­gique­ment pour mieux les comprendre. En appliquant cette stra­té­gie, des cher­cheurs ont décou­vert un nouveau gène, PIK3R1, dont les anoma­lies sont respon­sables d’une mala­die rare appe­lée syndrome de SHORT. Bien que connu depuis 1975, son carac­tère géné­tique n’a été que récem­ment décou­vert. Les patients atteints présentent, entre autres, une résis­tance sévère à l’in­su­line indui­sant un diabète.
Cette décou­verte a permis de mieux comprendre les méca­nismes respon­sables de la résis­tance à l’in­su­line, d’amé­lio­rer la prise en charge des malades, et d’en­tre­voir de nouvelles approches théra­peu­tiques pour les patients atteints des diffé­rentes formes de résis­tance à l’in­su­line. Pour le Dr Chris­tel Thau­vin, géné­ti­cienne au CHU de Dijon, l’un des points clés de cette décou­verte réside dans son impact direct sur la prise en charge de certains patients atteints du SHORT. En effet, le trai­te­ment clas­sique par hormone de crois­sance donné aux enfants pour leur petite taille a été arrêté car risquant forte­ment d’ac­cé­lé­rer l’ap­pa­ri­tion du diabète. Cette étude a égale­ment permis d’ex­pliquer la patho­lo­gie de certains patients dont le diagnos­tic n’avait pu être établi.

puce Égale­ment dans Spec­tra Biolo­gie n° 203
  • UN POINT SUR
    De nouvelles tech­no­lo­gies pour accroître la sécu­rité des candi­dats-médi­ca­ments
    Maria THEODOSIOU, Arsia AMIR-ASLANI, Bruno MEGARBANE
  • UN POINT SUR
    SH REF 04 : Vali­da­tion des résul­tats d’exa­mens de biolo­gie médi­cale et commu­ni­ca­tion appro­priée des résul­tats inter­pré­tés au pres­crip­teur et au patient
    Alain CŒUR
    Voir l’ar­ti­cle…
  • TECHNOLOGIE APPLIQUEE
    Les systèmes auto­ma­ti­sés de lecture des auto-anti­corps anti-nucléaires par immu­no­fluo­res­cence indi­recte : futurs co-équi­piers des biolo­gistes ?
    Daniel BERTIN, Pierre BONGRAND, Natha­lie BARDIN
    Voir l’ar­ti­cle…
  • TECHNOLOGIE APPLIQUEE
    Nouveaux déve­lop­pe­ments sur le dépis­tage des autoan­ti­corps anti-ADN natif en 2013 :une nouvelle tech­nique ultra-sensible d’im­mu­no­fluo­res­cence indi­recte sur Crithi­dia luci­liae pour­rait détrô­ner les autres méthodes
    Chan­tal DESGRUELLES, Faïza BOUSSA-KHETTAB, Camille FRANCES, Nisen ABUAF
    Voir l’ar­ti­cle…
  • MISE A JOUR DES CONNAISSANCES
    Auto-anti­corps ciblant le complé­ment :consé­quences fonc­tion­nelles et asso­cia­tions cliniques
    Caro­line BLANC, Maria-Chiara MARINOZZI, Pauline BORDEREAU, Stépha­nie NGO, Marie-Agnès DRAGON-DUREY
    Voir l’ar­ti­cle…
  • MISE A JOUR DES CONNAISSANCES
    Les biomarqueurs du lupus érythé­ma­teux dissé­miné et leur asso­cia­tion aux mani­fes­ta­tions cliniques
    Natha­lie BARDIN, Daniel BERTIN, Pierre BONGRAND
    Voir l’ar­ti­cle…

 

Pour rece­voir notre revue dans son inté­gra­lité, rendez-vous sur notre site,
pour décou­vrir nos offres d’abon­ne­ment au format presse ou au format élec­tro­nique.
puce Mani­fes­ta­tions
>>18es Jour­nées de l’In­gé­nie­rie Biomé­di­cale
DEAUVILLE – 09–11 octobre
>>58esJour­nées Inter­na­tio­nales de Biolo­gie 2013
PARIS, La Défense – 13–15 novembre
>>MEDICA 2013
DUSSELDORF, Alle­magne – 20–23 novembre
>>33e RICAI
PARIS, CNIT La Défense – 21–22 novembre
>>47es Jour­nées de biolo­gie prati­cienne
PARIS, Maison de la Chimie – 6–7 décembre
La News­let­ter Spec­tra Biolo­gie est une publi­ca­tion des éditions PCI
176, rue du Temple – 75003 Paris
Tél. : 01 44 59 38 38 – Fax : 01 44 59 38 39